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			215 
			
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75. Le Lay de desir en complainte 
			 
			Belle, tournez vers moy vos yeulx 
			Et congnoissiez mon grief martire, 
			Car pour riens ne vous ose dire 
			Le mien desir; ainçois veil mieux 
			En vous servant devenir vieux. 
			Ce qui vous plaist me doit souffire, 
			Et me souffist, sans contredire, 
			Combien que mon cuer soit tieux 
			Que pluseurs fois et en mains lieux 
			De la bouche me convient rire 
			Quant le cuer ou corps me souspire. 
			Mais pas ne veult d’Amours li Dieux 
			Que trop vous face l’ennuieux 
			Pour vous monstrer a quoy je tire. 
			Ains me fait doubter l’escondire 
			De vostre gent corps gracieux. 
			 
			Si vous suppli que le regart 
			De vos beaux doulz yeulx, que Dieu gart, 
			Veilliez adrecier ceste part, 
			Tant que bien clerement voiez 
			Comment le mien cuer, main et tart, 
			De vous amer esprent et art, 
			Sans engin et sans mauvais art, 
			Ja soit ce que moult est bleciez 
			Et ferus d’un amoureux dart 
			Qui tout parmi le fent et part. 
			Mais penser ne peut autrepart. 
			Tant est de loyaulté loyez 
			Que de mourir suis en regart. 
			Vie n’ay pas, au tiers n’a quart, 
			Se de vos plaisans yeulx l’espart 
			Doulcement vers moy n’envoyez 
			 
			Pour congnoistre le dezir, 
			            Et plaisir 
			            Qui gesir 
			            Sans joir 
			Me fait tousdiz, et bruir 
			Dedens l’amoureuse flame 
			Ou je ne fais que languir 
			            Et gemir. 
			            Mais couvrir 
			            Sans gehir 
			Me convient sans descouvrir 
			Le mal qui mon cuer entame. 
			Et vous ne voulez oir 
			            Ne veir, 
			            Consentir 
			            Ne assentir 
			Entendre ne retenir 
			Mon dezir, tresdoulce dame. 
			Se ainsi me fault mourir 
			            Et fenir 
			            Pour servir 
			            Sans merir, 
			Je seray d’amours martir, 
			Et Dieux ait mercy de l’ame. 
			 
			            Helas, je fais 
			            En tous mes fais 
			            Chançons et lays 
			            Et virelais 
			Seulement pour vous adviser. 
			            Mes diz sont lais 
			            Car homs suis lais, 
			            Mais je les trais 
			            Et les attrais 
			Du plus parfont de mon penser 
			            Pour vous monstrer, 
			            Soit par chanter 
			            Ou par rimer, 
			            Que sans fausser, 
			De vous sui fins amoureux vrais, 
			            Et vueil amer 
			            Et bien celer 
			            Sans plus rouver 
			            Ne demander 
			Fors que mon cuer soit mis en paix. 
			 
			Certes, mon desir ne me laisse 
			Avoir paix, santé, ne repos. 
			S’il ne fust, je fusse bien aise, 
			Mais il me deront tous de cops. 
			Il se muce dedens mes os, 
			Plus embrasé q’une fournaise. 
			Toudiz le treuve sur mon dos, 
			Et me soit bel ou me desplaise. 
			Et quant dezir est grant et gros, 
			Et il convient que je m’en taise, 
			De tant ay je plus de mesaise 
			Et de tourment, bien dire l’os, 
			Qu’a paine dure les galos 
			Un fort cheval qui trop le faise, 
			Et le mien cuer pas ne delaise 
			Pour trop endurer son propos. 
			 
			Et pour ce, ma souveraine, 
			Vous devez bien en ma paine 
			Piteusement regarder, 
			            Et penser, 
			Que quant je n’ose parler 
			Du mal qui a mort me maine, 
			Du cuer me tramble la vaine, 
			Et se je dois reschafer  
			            Mon trambler, 
			Couvrir me faut pour suer 
			D’autre chouse que de laine. 
			Car dezir ad ce me maine, 
			Qui de chault me fait bruler  
			            Et grailer 
			Quant je dois aterminer. 
			Mon mal vault pis que tiersaine, 
			A tout bien considerer 
			 
			Le fort dezir que j’endure 
			Dont l’ardure est si dure, 
			Nuit et jour, tousdiz me dure, 
			Sans aucun delay avoir, 
			Ne rien ne m’y puet valoir 
			Si non Amour et Nature 
			Et vous, doulce creature, 
			Qui le pouoir et savoir 
			Avez bien, d’apercevoir 
			En quel lieu j’ay l’enclaure 
			Dont je me dueil main et soir. 
			Car certes, a dire voir, 
			Vo beauté fist la pointure 
			Qui si fort me fait douloir. 
			 
			Pas ne m’avez point de retraite, 
			Car cilz poins n’yert jamais retrais. 
			Desir me point, qui tousdiz traite 
			Que plus parfont soit mon cuer trais 
			De vous amer d’amour parfaite, 
			Dont je seray martir parfais, 
			Se Pitié, qui telz poins afaite, 
			Ne se met sur moy tout a fais. 
			Pour ce je tiens ma fin pour faite; 
			En vous dezirant la parfais 
			Sans contenance contrefaite, 
			Ne l’amant pas ne contrefais. 
			Car du desir qui me deshaite 
			N’ay plus de bien que beaux souhais, 
			Et non pour quant, tousdiz agaite 
			Que mon maintien soit liez et gais. 
			 
			Est ce donc esbatement 
			D’amer telement 
			Et si ardanment 
			Qu’amer est tourment 
			Sans alegement? 
			Le tenez vous a solas, 
			Par Saint Nicolas, 
			Hors mis tous debas? 
			Je ne li tien pas. 
			Le beuf, pas a pas, 
			Ce dit l’en, le lievre prent. 
			Ainsi faitement, 
			Se Dezir en prent 
			Mon destrivement, 
			Tousdiz entre jeux et gas 
			Seront my esbas 
			Du tout mis au bas. 
			Lors diray «Elas, 
			Amours, trahy m’as.» 
			Veez la bel revengement. 
			 
			Maistre Guillaume de Machaut 
			Dit bien que revengier n’y vault. 
			Envers Dezir rendre se faut. 
			Mort est qui oeuvre de rigour. 
			Et Guillaume de Saint Amour 
			Montre comment le Dieu d’Amour 
			Le cuer des amoureux assault 
			Par un dezir cuisant et chault, 
			Si chault que de riens ne leur chault 
			Fors que de bien amer toujour. 
			Cuer desireux n’a nul sejour. 
			Pour ce, ma dame de valour, 
			Ne me trovez pas en deffaut 
			Se maniere souvent me fault. 
			Car le mien dezir est mout hault, 
			Et a besoing de grant doulçour, 
			Sans vouloir mal ne deshonnour. 
			Mais le reffus me fait paour 
			Tant que tout le cuer me tressault 
			Et li corps de parler m’est chault. 
			Et quant le hardement y fault, 
			Adont est double ma doulour. 
			 
			Et li bons maistres qui parfist 
			La fin du Romant de la Rose 
			Il m’est advis qu’il ait escript, 
			Je ne sçay en texte ou en glose,  
			Que dezir est moult ardant chose, 
			Et a paine se refroidit. 
			Et je voy bien qu’il a voir dit 
			Par le mien, qui pas ne repose, 
			Ne d’ardoir ne prent nul respit. 
			C’est un amoureux esperit 
			Qui en mon cuer a fait sa fosse, 
			Et paour m’a la bouche close 
			Pour ce que nul mot n’en yssit. 
			Ainsy dezir mon cuer noircit, 
			Qui mon destruisement propose. 
			Ne descouvrir pas ne vous ose, 
			Dame, pour quoy mon cuer languist. 
			 
			Ne doy je bien estre joyeux 
			Quant chascun jour mon mal empire? 
			Il n’a usurier en l’empire 
			Qui soit d’avoir si convoiteux 
			Comme je sui tresangoisseux 
			De vous ma pensee descripre. 
			Mais a tel mal ne me vault mire, 
			Tant par soit sage ne soucieux, 
			Se vo cuer n’est du mien piteux. 
			Autre confort n’y sçay eslire. 
			Ce fait dezir, qui me martire. 
			Belle dont je sui envieux, 
			Entendez mon lay desireux, 
			Et voyez qu’il me fait deffrire, 
			Et pour mieulx appercevoir l’ire 
			Dont je sui merancolieux, 
			Belle, tournez vers moy vos yeulx.  
			  | 
			
75. The Lai of desire in complaint 
			 
			Fair lady, turn your eyes towards me 
			And recognize my grievous suffering, 
			For I do not dare at all to tell you 
			Of my desire; instead I prefer 
			To grow old in serving you. 
			What pleases you should suffice for me, 
			And it does suffice, without denial, 
			However much my heart is such 
			That oftentimes and in many places 
			I am compelled to laugh with my mouth 
			When the heart in my body sighs. 
			But the God of Love does not wish 
			That I be too annoying to you 
			In order to show you what I’m aiming at. 
			Instead he makes me fear refusal 
			From your noble gracious self. 
			 
			Thus I beseech you that you please 
			Turn the gaze of your fair sweet eyes, 
			Which God preserve, in this direction, 
			In such a way that you clearly see 
			How my heart, both early and late, 
			Takes fire and burns from loving you, 
			Without trickery or evil design, 
			Even though it is greatly hurt 
			And struck with a dart of love 
			That splits and divides it down the middle. 
			But it cannot think otherwise. 
			To loyalty it is so tightly bound  
			That I am in fear of dying. 
			I have no life, not even a fraction, 
			If the brilliance of your charming eyes 
			You do not gently send my way 
			 
			In order to know the desire, 
			            And the pleasure 
			            Which makes me lie down 
			            Without joy 
			Constantly, and makes me burn 
			Within the flame of love 
			Where I can only languish 
			            And moan. 
			            But I must hide 
			            Without declaring 
			And without revealing 
			The pain that consumes my heart. 
			And you don’t want to hear 
			            Or see, 
			            To consent 
			            Or agree 
			To listen to or to remember 
			My desire, most gentle lady. 
			If thus I must die 
			            And end 
			            For serving 
			            Without deserving it, 
			I will be a martyr of love, 
			And may God have mercy on my soul. 
			 
			            Alas, I make 
			            In all my works 
			            Songs and lais 
			            And virelais 
			Solely in order to address you. 
			            My poems are rough 
			            For I am a layman, 
			            But I draw them forth 
			            And I recite them 
			From the deepest part of my thought 
			            In order to show you, 
			            Either by singing 
			            Or by rhyming, 
			            That without lying, 
			I am your true and noble lover, 
			            And I wish to love 
			            And keep it secret 
			            Without asking more 
			            Or requesting 
			Except that my heart be set at peace. 
			 
			Truly, my desire does not let me 
			Have peace, health, or repose. 
			If it didn’t exist, I would be at ease, 
			But it consumes me constantly. 
			It hides itself within my bones, 
			Blazing hotter than any flame. 
			I constantly find it upon my back, 
			And whether I like it or not. 
			And when desire is great and huge, 
			And I am forced to remain silent, 
			Then I have so much more distress 
			And torment, I dare well say, 
			Than he who whips too much 
			Endures the gallops of a horse, 
			And my heart does not desist 
			In order to better endure its condition. 
			 
			And for this reason, my sovereign lady, 
			You ought well upon my pain 
			To look with pity, 
			            And to think, 
			That when I do not dare to speak 
			Of the pain that leads me to my death, 
			The vein of my heart is trembling, 
			And if I am to warm up 
			            My shivering, 
			I must cover myself in order to sweat 
			With something other than wool. 
			For desire leads me to this, 
			That makes me burn with heat 
			            And fry 
			When I ought to cease. 
			My pain is worse than a fever, 
			When all is taken into account. 
			 
			The strong desire that I endure 
			Of which the burning is so strong 
			Continues constantly, night and day, 
			Without having any respite, 
			Nor can anything avail me 
			If not Love and Nature 
			And you, gentle creature, 
			Who the power and knowledge 
			Certainly have, to recognize 
			In what place I have the hardship 
			Of which I grieve morning and evening. 
			For certainly, to tell the truth, 
			Your beauty made the wound 
			Which makes me sorrow so greatly. 
			 
			You have left me absolutely no retreat, 
			For this point will never be withdrawn. 
			Desire pricks me, which constantly incites 
			My heart to be drawn to love you 
			More deeply, with a perfect love, 
			Of which I will end up a martyr, 
			If Pity, which treats such wounds, 
			Doesn’t turn my way immediately. 
			Thus I consider my end to be decided; 
			I bring it about in desiring you 
			Without counterfeit appearance, 
			Nor do I pretend to be a lover. 
			For of the desire that afflicts me 
			My only reward is pretty wishes, 
			And nonetheless, I am always on guard 
			That my behavior be happy and gay. 
			 
			Is this then enjoyable 
			To love this way 
			And so ardently 
			That love is a torment 
			Without relief? 
			Do you think it a pleasure, 
			By Saint Nicholas, 
			Beyond all debate? 
			I don’t think it so. 
			The cow, step by step, 
			They say, overtakes the hare. 
			In that same way, 
			If Desire undertakes 
			A struggle with me, 
			Always between games and jests 
			Will my pleasures 
			Be completely brought low. 
			Then will I say, “Alas, 
			Love, you have betrayed me.” 
			See its sweet revenge. 
			 
			Master Guillaume de Machaut 
			Says well that vengeance isn’t worth it. 
			One must surrender to Desire. 
			He is dead who struggles without bending. 
			And Guillaume de Saint Amour 
			Shows how the God of Love 
			Assails the hearts of lovers 
			With a hot and burning desire, 
			So hot that nothing matters to them 
			Except to love well forever. 
			A desirous heart has no relief. 
			For that reason, my worthy lady, 
			Do not find me at fault 
			If my manners are often lacking. 
			For my desire is very great, 
			And it needs great gentleness, 
			Without wishing pain or dishonor. 
			But refusal makes me afraid 
			So greatly that my whole heart trembles 
			And my body is eager to speak. 
			And when courage is lacking, 
			Then my sorrow is doubled. 
			 
			And the good master who brought to an end 
			The Romance of the Rose, 
			It seems to me that he wrote, 
			I don’t know whether in text or gloss, 
			That desire is a very burning thing, 
			And that it hardly ever cools down. 
			And I see well that he told the truth 
			From my own, which does not rest, 
			Nor does it take any respite from burning. 
			It is a loving spirit 
			That has buried itself within my heart, 
			And fear has closed my mouth 
			So that no word escapes. 
			Thus does desire blacken my heart, 
			Which is planning my destruction. 
			And I do not dare to reveal to you, 
			Lady, why my heart languishes. 
			 
			And should I really be joyous 
			When every day my pain grows worse? 
			There is no usurer in the empire 
			Who is as covetous to possess 
			As I am anxious to describe 
			To you my thought. 
			But for such a pain no doctor avails, 
			However wise or caring he is, 
			If your heart has no pity on mine. 
			I cannot choose any other comfort. 
			Desire does this, which makes me suffer. 
			Beautiful lady whom I desire, 
			Listen to my lai of desire, 
			And see that it makes me burn, 
			And to better perceive the sorrow 
			Of which I am melancholy, 
			Fair lady, turn your eyes towards me. 
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